Anouchka artiste peintre
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50 rue des Moulins
27590 PITRES
Présentation de mon oeuvre:
Partout communiquent, se conjuguent, se heurtent ou s'allient la force et la douceur.
Le berceau de la vie est une force de la nature,la mer.
La rencontre avec l'eau quand arrive la lumière,
Si la vie nait aussi de l'osmose entre la force de l'homme et la douceur de la femme,
des âmes cèdent à la guerre où s'exposent dureté et insensibilité.
Mais la dureté n'est elle pas le masque du faible.
La force n'est elle pas née de la résistance?
Les rubans ne peuvent ils pas recourber le fer, resserrer les liens d'un corset, ou danser au gré du vent?
Ne puise-t-on pas ses forces dans la tendresse au sein d'une mère,
dans la rythmique de son coeur?
N'est il pas apaisant de compter quelque fois les vagues quand elles caressent le sable?
Quand inlassablement elles partent mais reviennent enlacer les écueils.
Que dire du petit ruisseau qui entraine la roue du moulin?
La force ne réside-t-elle pas dans la constance?
Que dire de la fragilité de ces germes piétinés qui transpercent par endroit les trottoirs parisien,
de leur persévérance à briser leur coquille de bitume. Ces tiges douces et résistantes qui nuits après nuits, pourraient bien devenir de grands chênes?
La force n'est-ce pas aussi celle du perce neige ?
D'ou vient la force des cygnes migrateurs qui chaque année franchissent deux fois la chaîne himalayenne.
La force ne réside-t-elle pas dans le renouvellement constant de leurs silencieuses performances?
Pour Leonard de Vinci "le plus petit des félins est plus grand que le plus grand des hommes"
Mes chats me voient dans le noir; non, ils me regardent.
Ces dieux du désert sautent plus haut que nous, courent plus vite que nous, pourvus de griffes et de crocs ils me fascinent par leur douceur,
leur tendresse, leur patience, leur sérénité contagieuse.
Je veux bien croire qu'on peut être dur et fragile à la fois, comme le fer, les femmes, les mères, les rubans, les félins, la lumière et la mer.
Mais au dessus de tout, je reste émue de voir qu'on peut être doux et fort à la fois, comme le fer, les mères, les rubans, les félins, la lumière et la mer.
Que cette alliance est le message mis en scène dans ma peinture,
le secret de mon équilibre,
ma clef de sol.
Vous le faire partager est un rêve de voir s'étendre l'harmonie.
Si certains confondent toujours sensibilité et fragilité, force et dureté,
puis-je seulement leur avoir parlé des sources ou je puise mes forces et les inviter à s'y abreuver.
Biographie:
Née à Chatou en 1973, de mon vrai nom Séverine, Anouchka Roels Thomassin, c'estdès l'âge de cinq ans, que j’ai grandi face à l'île des impressionnistes dans une école Rudolph Steiner à vocation artistique : "école Perceval".
J'ai appris à regarder au lieu de voir, à écouter plutôt qu'à entendre, à entreprendre.
Dès ma majorité, j'ai suivi les cours d'une classe préparatoire aux beaux arts, au cœur de Paris: "prép'Art". J'ai étudié les différentes techniques du dessin et de la peinture, le rough, le Dao...à mettre mes outils, mes mains, et mon âme au service de l'art.
J'ai appris à sentir et à faire ressentir.
Jeune adulte, j'ai poursuivi des études supérieures à L'Institut Supérieur de Communication : ISCOM Paris où j'ai obtenu un diplôme de Graphiste-maquettiste.
J'ai trouvé mon identité, j'ai choisi la peinture.
Pendant les quinze années qui suivirent, je devenais maman, je voyageait, parcourant d'innombrables kilomètres sur le sentier des douaniers.
D'Amsterdam à Majorque, de Hong Kong à Bangkok, en passant par Bornéo, Miami, New York, Pointe-à-pitre...je voulais voir tous les rivages du monde.
Alors j'ai capturé les émotions que m'offraient chaque soir, la beauté du ciel, la force des vagues, mais leur douceur aussi.
Aujourd’hui et pour toujours je peux puiser le meilleur au cœur de la Normandie, au son de l’Andelle, la douceur du temps et de ses habitants.
Par Anouchka artiste peintre...